
La croissance est plus facile quand on part de bas que lorsqu’on atteint le plafond. Le constat de l’auteur est logique.
Nous pays riches en sommes au plafond voire davantage si on considère que tout humain devrait acceder à une prospérité suffisante et sensiblement égale sur Terre.
Que l’argent, à lui seul ne fasse pas le bonheur s’impose à toute personne qui réfléchit un peu. La croissance n’est pas le remède à tout. Par contre elle est un moyen commode d’apaiser les revendications sociales par du saupoudrage financier pendant que les profits sont concentrés dans de rares poches ou paradis fiscaux...
Le vrai problème est la répartition de la valeur ajoutée (constituant du PIB censé « croître » sans cesse) qui doit répondre à des impératifs de solidarité et d’humanité, en tout cas si on veut une société viable et apaisée, c’est ce vers quoi il faudrait tendre.
Mais, non, on prend plutot le chemin inverse du conflit perpétuel, de la concurrence exclusive, sorte de sélection « naturelle » appliquée à la société. Que le meilleur « gagne » et que les autres crèvent. Merveilleux, et surtout terriblement humain !
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