Ta conclusion est bien un casse-tête pour un chef honnête : soit il reste dans l’esprit 3 étoiles, il gagne peu, et on lui reprochera de ne cuisiner que pour une élite ; soit il démocratise, il gagne plus et on lui suggérera de penser plus à la cuisine qu’au marketing ! Et si de temps en temps on parler aussi de ce qu’on trouve dans les assiettes ?