Un dernier mot sur Florent Pagny tout de même :
Primo, il serait bien d’avoir le courage d’assumer avec bien plus de conviction ce que l’on pense et dit. Une erreur se corrige, mais la lâcheté point. Pas besoin de balbutier des âneries deux heures plus tard quand le foin prend feu
Secondo, là ou il à tort c’est de penser que les States sont l’Eldorado de l’épanouissement, car pour une société plus que malade, elle se pose là. Les batailles se mènent sur les champs ou elles ont lieu, et non pas planqué à 6000 bornes.