Et si le problème des entreprises, c’était la compétence réelle des jeunes recrutés ? et si l’orthographe n’était que la partie directement visible de l’inadéquation entre offre et besoin, entre nécessité de compétences et compétences réelles ? et si de façon générale les diplômes étaient tous sur-validants ? et si le CPE, dans son esprit d’origine et avec ses maladresses, n’était rien d’autre qu’une souplesse donnée aux entreprises de réparer sans trop de dommages pour elles leurs erreurs de casting ?...