Damien-Gullaume, bonjour !
Une bonne partie de mon courrier ayant été engloutie dans je ne quel gouffre, je ne t’ai pas écrit plus tôt, ne disposant pas de ton adresse. Puis, j’ai pensé que tu étais un auteur connu... Ce qui m’a conduit, de clic en clic, à lire cette préface que tu as écrite en complicité avec ta soeur. Je la trouve très brillante en même temps
que très caustique : félicitations ! Tu me demanderas alors peut-être pourquoi je ne lis pas la prose du Monty