Bonjour, Kitamissa.
Eh oui, c’était véritablement une aventure à ces époques, avec son contingent de dangers maritimes mais aussi terrestres, sans compter les problèmes liés, effectivement, à l’alimentation avariée ou déséquilibrée avec, à la clé, les risques de scorbut.
Des conditions qu’ont vécues ces coureurs des mers lointaines que furent La Pérouse, Bougainville, Marion Dufresne, Kerguelen ou Crozet, pour ne citer que ceux-là.
Sans doute y avait-il là matière à enthousiasme, voire à exaltation, mais aussi, probablement, à déprime lorsque les choses tournaient mal. Fort heureusement, ce sont toujours les belles images qui demeurent...
Cordialement.