la question que vous posez est : peux-t-on rire de tout ?
Prendre le rire comme une soupape de sécurité ce n’est pas forcément « se réjouir et se délecter de la mort d’autrui »
Je ris beaucoup en terme de soupape, je suis au contact de la mort d’autrui tous les jours, de la peur, des leurs, des miennes, je cherche mon humanité