
Sauf que l’armée américaine se sert des jeux vidéo pour excercer ces soldats d’élite.
Les spécilalistes avaient remarqué que les tireurs mettaient moins de zèle à tirer sur des leurres humains que des cibles en carton ou des boites de conserve. lls en avaient déduit un reste inconscient d’humanité, bien inconscient, une sorte de pudeur mal placé au moment où l’homme appuyait sur la gâchette.
Un petit tour derrière une console de jeu règle maintenant le problème. Le joueur sachant qu’il est dans le virtuel oublie ces pudeurs mal placées, se déchainent sur les cibles humaines, et retrouve toute sa performance, sans l’ombre d’un culpabilité.
Replongez le dans le théatre d’action traditionnel du tir sur cibles, puis sur théâtre d’action, il s’avère que cette séance de conditionnement élaborée par les spécialistes des techniques de comportement ont porté ses fruits.
L’homme est enfin le tireur parfait, sans état d’âme, tout à sa technique.
Ses réflexes développés pendant le jeu vidéo ont court-circuité les résidus moraux qui le perturbaient.
Voilà, c’est pas si dur que ça, de devenir un bon tueur.
Suffit juste de débrancher l’affect.
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