Aymar 24 août 2011 12:25

Effectivement, le contexte du travail de la plaignante a été un peu vite éludé, c’est ce qui permet de plaider le consentement comme s’il s’agissait d’un cadre privé.

En replaçant la femme de ménage sur son lieu de travail on constate qu’elle n’avait que deux alternatives négatives, accepter et prendre le risque de se faire virer, refuser et prendre le risque de se faire virer (sous un faux prétexte) aussi. 

Dans les deux cas la femme de ménage devait avoir la crainte de perdre son emploi. 
A moins bien sûr d’avoir été subjuguée par le charme d’un vieux client au point de perdre la tête ou d’avoir calculé son chantage depuis le début, la femme de ménage a bien subi des contraintes liées à son travail. 

Quoiqu’il en soit le baron a récupéré son droit de cuissage, il pourra l’exercer à loisir, en France.

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