Je suis d’accord avec vous, tout a été dit, et tout a été écrit,
et je me suis bien gardé d’écrire un article tant que l’affaire n’était pas « terminée »,
qui n’est d’ailleurs pas vraiment sur l’affaire proprement dite.
Et vous avez fort raison sur le terme « présumé » qui
n’est pas vraiment adapté à une victime, mais comme vous le souligniez, c’est aussi
par équité que j’ai utilisé le même mot pour parler de l’un et de l’autre « le présumé agresseur » et « la présumée victime ».