Cher Mordius,
Les dettes, ce n’est pas grave, du moment où elles sont planifiées pour un projet créateur de bien-être ou comme effet de levier à la création d’un mieux vivre ou d’un « return on investment » positif. (Désolé pour le jargon de circonstance.).
Si c’est à fonds perdus, alors là, on est perdant. Le PIB n’est rien s’il n’est pas accompagné du BIB (Bonheur Intérieur Brut).