Bonsoir l’auteur ;
vous écrivez ;
"Une recapitalisation des banques qui ne s’accompagne d’aucune réforme de
ces dernières. Pas de séparation des banques d’investissements et de
détails, pas de changement des dirigeants, pas de réduction des salaires
extravagants."
Le simple fait d’oublier la nationalisation dans la liste des solutions discrédite votre propos.
Mais bon, on sait bien que la République debout ou assise, c’est toujours à droite.
cdlt