eratosthène 14 novembre 2011 00:25

Les exemples que j’ai donné suffisent à infirmer vos thèses, je ne vois pas pourquoi j’en donnerai plus.


« Tout en réaffirmant mon incompétence en économie, contrairement à vous qui savez faire de brillantes démonstrations, je maintiens que les excès peuvent être contenus.Et avant cela, que les difficultés pointant leur nez, peyvent être évaluées, expliquées, discutées.... Est-ce-que vous comprenez ces mots ? Il s’agit de mettre en oeuvre un processus démocratique et de bon sens. »

L’État peut intervenir pour contenir les excès et « mettre en oeuvre un processus démocratique et de bon sens », je crois que tout le monde y inspire. Mais au final, ça ne change rien à ce que j’ai dit. La monétisation de la dette est inflationniste et elle a déjà généré de l’hyper-inflation dans certains pays. Les contraintes sont là et il faut faire avec. Tu peux modifier une politique mais tu ne peux ni modifier la contrainte ni faire agir tous les individus dans le sens que tu souhaites car ils gardent leur libre-arbitre.

« Normalement les parlementaitres ont un rôle important à jouer dans ce processus.Normalement, les politiciens en charge des dossiers doivent rendre compte. »

On est d’accord. Je ne vois pas qui dirait le contraire.

« La situation actuelle peut être comparée à celle des années 20 et 70, mais elle n’est pas pareille. »

Cela va de soi, mais il est intéressant d’étudier les crises antérieures pour ne pas refaire les mêmes conneries.

« Je ne prône pas une fabrication monstrueusement massive de monnaie de singe dans les mêmes structures politicardes, qui sont avant tout des instruments au profit des politiracailles et de ceux qu’ils servent. Je ne prône pas non plus la fabrication d’une Corée du Nord 2 chez nous. Ni ailleurs. »

Vous prônez quoi alors ?

« Donc, par acceptation du traité de capitaulation et de l’europourriture, vous êtes un complice de la criminalité mondiale, du blanchiment de fric, de l’évasion fiscale, de la fraude et des inégalités croissantes. »

Les attaques ad hominem, je commence à en avoir l’habitude mais m’attaquer de complicité de délinquance, c’est inadmissible. Vous m’accusez d’être complice de délits répréhensibles par le code pénal. Je suis un citoyen comme vous et je suis honnête, je n’ai jamais commis aucun délit. Assimiler ses adversaires politiques à des criminels qu’il faut éliminer est une pratique peu glorieuse qui fut mis en oeuvre dans les périodes les plus sombres de notre histoire.

Comme d’habitude, vous tombez dans l’écueil des attaques ad hominem et des injures sans essayer d’argumenter.

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