Annie 17 décembre 2011 18:21

C’est drôle comme le droit de frapper un enfant reste du domaine de la « sphère privée ». C’est aussi surprenant que l’on établisse une hiérarchie entre les parents et les enfants. La fragilité même d’un enfant devrait être sa meilleure protection.
À tous ceux qui défendent le droit de lever la main sur un enfant, j’aimerai savoir quelle est l’étape suivante lorsque l’enfant n’obéit toujours pas ?


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