Spip Spip 15 février 2012 19:22

Ce système repose entièrement sur le Dieu Export. Reste à trouver des clients solvables. Jusqu’ici, c’était en gros la sphère occidentale. Comme il a déjà été dit, sa paupérisation évidente modifie la donne et ce ne sont pas les pays émergents qui vont compenser vraiment.

Henry Ford était loin d’être un homme de gauche (pro-nazi même, à l’époque) mais, au moins, il était logique. Quelle est la logique actuelle, en dehors du bilan trimestriel à présenter aux actionnaires ? Quel avenir a ce système, à part imploser à terme ?

Quand ce sera fait, la crise actuelle passera, comparativement, pour un incident. Reste à espérer qu’on ne nous demandera pas, là aussi, de payer les pots cassés (avec quoi ?)


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe