Alors je le fais, tant pis pour ceux qui comprendont de travers :
la quasi totalité des produits culturo-médiatiques (le cinéma surtout, au niveau
production, réalisation, photographie, dialogues etc..) sont produits et distribués
par une certaine catégorie d’hommes : ceux qui se pensent en conquérants du marché et du reste,
et qui pensent le féminin uniquement comme objet à vendre, au plus offrant.