sirocco sirocco 4 octobre 2012 14:05

@ Le peripate

Le jour même, rien.

Mais le lendemain les Etats font défaut. C’est à dire qu’ils cessent de payer leurs fonctionnaires. Car qui irait prêter l’argent si un trait de plume peut tout effacer ? Vous ? 

Moi, non !
Mais que faites-vous de la planche à billets ?
Car après tout les dettes nationales sont des histoires financières entre organismes internationaux et Etats prêteurs. Tant que les citoyens d’un pays continuent à utiliser la monnaie-papier pour toucher leur paie et régler leur échanges, il n’y a pas forcément d’effondrement à court terme. Non ?


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe