« Certes Paul Jorion indique que « la finance dispose donc des moyens de neutraliser toute tentative de réduire la nocivité de ses pratiques ». Mais il présente ce fait comme une fatalité sans en démonter les mécanismes. »
Exact. Quand on lit cela, :
"...dans la crise des années 1930, une crise « cyclique », mais savez-vous en
quelle année nous sommes alors sortis de ce cycle ? Aux alentours de
1965. Et il a fallu pendant tout ce temps-là, une bonne guerre pour
donner un coup de fouet salutaire à l’économie. La différence avec
maintenant ? Avec une planète épuisée entre-temps par nos soins, une
complexité qui nous dépasse désormais, le travail en voie de
disparition, aujourd’hui, c’est beaucoup plus grave.«
que fait-on ?
On choisit entre la corde ou le grand saut dans le vide ? »
Ou on réfléchit ?