jacques casamarta 7 novembre 2012 23:14

Bien vu, mais les rapports de forces ne sont pas favorables aujourd’hui...

Pourtant, Il n’y a pas de fatalités à ce que les états (les pouvoirs devrions nous dire) volent systémathiquement au secours de la grande finance... L’intéret général devrait impliquer l’inverse, mais peut être sommes nous confrontés à une sorte d’impuissance collective, de « dictature » démocratique, un modèle de pensée suffisamment puissant et organisé pour s’imposer aujourd’hui comme incontournable....

Rien n’est jamais définitivement acquis, mais rien n’est aussi irrémédiablement perdu...


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe