cassandre cassandre 14 novembre 2012 09:40

je connais assez bien la psychanalyse pour m’y être intéressée et pour avoir vécu une analyse une psychothérapie durant 4 ans , cela laisse bien sur une radiographie de l’inconscient sur laquelle on peut travailler si toutefois il n’y a que peu de dégâts ... après quoi les sciences humaines que sont la psychologie la psychiatrie restent bien impuissante face a de grave problème neurologique si par ailleurs ces dernières n’ avaient pas accès a des molécules chimique nous serions encore dans la médecine psychiatrique de l’enfermement du ligotage et des électrochocs a haute intensité , bien que ce dernier soit rebaptisé sismographe et permet aujourd’hui de soulager a plus faible intensités les cas grave de dépression ... il faut être cohérent devant ce débat du genre personne ne détient la vérité absolut il semble que tout cela soit infiniment plus subtil qu’il n’y paraisse , les théoriciens du genre doivent étayer leurs hypothèse par l ’observation clinique et sur un grand nombre d individu de tout origine , seul une méthodologie de recherche clinique peut éclairer la question , malheureusement pour les « anti gender » les observations actuelle semblent allez dans le sens des sociologues , cependant il y a bien un développement « au féminin » et « au masculin » du cerveau des la 5 eme semaine de gestation l histoire pathétique des intersexués ( les enfants née au sexe indéterminé ) est terrifiante et donne des pistes sur la structuration neuronale du cortex cérébral , tout semble se jouer a la gestation , le sexe visible n ’étant que la partie émergée de notre qualité « homme » ou « femme » mais ne constitue pas pour autant une catégorie claire et immuable , le cerveau semble le seul a nous déterminé les hormones en sont semble t ’il un des vecteurs a certain moment de notre existence, voir par exemple l’adolescence , je vous propose de vous informer sur les parcours des intersexué vous allez observer certaine choses extrêmement intéressante sur la façon dont se développe ces personnes qui ont subis durant des décennie les préjugés du sexe ou du genre .des leurs naissance celui de l’état civil puis celui du chirurgien et pour terminer celui de sa famille et de la société , malheureusement a la naissance il y a une chance sur deux de se tromper . là on a clairement les aspects neurologique du cerveau se développant par la suite et son empreinte sociologique et culturelle ... le cas des intersexuée est extrêmement démonstratif sur le plan clinique et sur le long terme ..


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe