MaximePL 6 avril 2013 07:50

Le pouvoir législatif agit de façon scélérate : cf. l’amendement 274 de la loi de refondation de l’école par exemple. 

Le pouvoir exécutif agit de façon clientéliste : toutes les lois et codes dont nous avons besoin au niveau national et tous les traités au niveau international existent déjà ; mais le gouvernement et l’état ne les respectent pas, pour les raisons détaillées dans l’article.  

(La résolution 67/82 adoptée tout récemment par l’assemblé générale de l’ONU le 19 mars 2013 (« Prise en compte des besoins socioéconomiques des personnes, des familles et des sociétés touchées par les troubles du spectre autistique ou autres troubles du développement et par les handicaps qui y sont liés ») s’ajoute à tout l’immense arsenal existant : la loi Choissy, la loi du 11 Février 2005, le Code de l’Education, le Code de la Santé Publique, le Code de l’Action Sociale et des Familles, le Code de Déontologie Médicale, la charte sociale européenne, la Convention de l’ONU relative aux droits des personnes handicapées, etc.). 

Le pouvoir médiatique s’en fiche : la journée mondiale de sensibilisation, c’était lundi dernier. Ah bon !? Un match de foot PSG-Barça et un ministre qui reconnait avoir un compte dans un paradis fiscal c’est évidemment bien plus important que la destruction de 400 000 à 600 000 français avec autisme et de leurs familles.

Il reste le pouvoir judiciaire : face à l’inertie du pouvoir et face à la mauvaise foi/volonté des professionnels, il faut viser le porte-monnaie pour mettre au pas ces récalcitrants.


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