Hervé Hum Hervé Hum 10 mai 2013 09:18

Bonjour FB, on est pas là pour se foutre sur la gueule, mais juste pour en avoir !!!

Pour tourner court à notre conversation sans pour autant continuer à polémiquer et tourner en rond dans la cour et ne pas se faire des cours l’un l’autre, je dirai que vous, vous tournez dans un sens et moi dans l’autre.

Autrement dit, vous partez de la réalité telle qu’elle est aujourd’hui, moi je part de la réalité telle qu’elle pourrait être. C’est à dire où l’employeur est réduit ou plutôt recadré dans ce qu’il devrait être, un porteur et chef de projet et non plus d’entreprise au sens statique c’est à dire possesseur de l’outil de production. C’est du moins dans ce sens que je fais ma critique et analyse. Donc, il n’est pas question pour moi d’éliminer la dynamique du mouvement (suivant votre propre référence), mais de la faire entrer dans une structure où la production (conceptuelle et manuelle) reste la base commune de la société et non plus une masse « esclave » d’une minorité.

Bon, c’est extrêmement réducteur, mais l’idée est là. Car on peut distinguer deux type d’entrepreneurs, le créateur et le vendeur. Le premier base sa dynamique sur le défi de son travail, le second sur le profit de sa vente. Seul le premier porte l’innovation, le second ne fait que plagier le premier. Le premier attend que son travail porte ses fruits, le second que ses
fruits porte son profit. Etc...

Et pour finir ces deux petits aphorismes : 

Le moteur du progrès et de la science n’est pas la concurrence, mais les défis qu’une personne ou/et une société se propose de relever et d’atteindre.

Les plus grands génies scientifiques de l’histoire étaient et sont motivés par le principe de l’émulation, non de la concurrence.


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