VICTOR LAZLO VICTOR LAZLO 1er juillet 2013 16:09

@L’auteur


Le 1er probléme de l’Afrique c’est l’Afrique elle-même.
Si le Niger estime être mal payé pour son uranium, qu’attend il pour mettre les Francais dehors ?
Idem pour les autres pays fournisseurs. Ces pays savent jouer de la concurrence chinoise ou américaine pour faire plier leurs clients quand il le faut. Et c’est à cette aune qu’il faut juger des interventions francaises sur l’Afrique : ce n’est pas la France qui a interêt à intervenir au Mali ou en Côte d’Ivoire, mais les classes politiques de ces pays qui exigent de la France ces interventions, dans lesquelles nous n’avons aucun interêt.
Ceux qui se croient encore en 1960 devraient reflechir à ce qui s’est passé en plus de 50 ans. Ce n’est plus la « France-Afrique », mais « l’Africa-France ».
Il serait effectivement temps de couper tous les liens avec l’Afrique , à commencer par l’Algerie qui croule sous des milliards de dollars et trouve le moyen d’employer des centaines de milliers de Chinois sur ses chantiers, quitte à priver d’emploi autant d’Algériens sur son sol...
Et à nous les envoyer...

Nous pouvons avoir d’autres fournisseurs (pays de l’Est, Amerique), et développer nos propres richesses naturelles (de l’éolien au gaz de shiste).
Enfin, concernant la « pauvreté » africaine, il faut avoir en tête que c’est son taux de natalité actuel (5 enfants par femme) qui l’y a conduit. A l’Afrique de se prendre en main et qu’elle assume ses choix et ses gouvernants (l’Afrique ne subit pas plus de « pressions » que nous n’en subissons-entre les USA, la CEE, et les autres pays, y compris ceux d’Afrique)



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