spartacus spartacus 15 juillet 2013 17:32

En fait de « nonisme » de l’autocrate Morales, 


Quand à l’auteur bénéficiaire de droit sociaux d’exception de régimes spéciaux et de passe droit d’Enarque à la charge de l’état, il devrait se payer un AR Paris La Paz pour se rendre a quel point c’est con de défendre un narco trafiquant notoire.

Au jeu des réfugiés dans les « ambassades » Morales détient un beau record....Combien y en a t-il à l’ambassde du Brésil à La Paz actuelement ??

Des milliers de personnes passent au Brésil persécutés par les milices des narco trafiquants de Morales.

Des élection avec 57% de bulletins blanc, que c’est « démocratique »....

Morales est un autocrate sanguinaire qui terrorise tous ceux qui sont contre lui.
Mis au pouvoir par les narco trafiquants, pour légaliser la production de coca pour faire de la drogue a exporter aux pays occidentaux. 

Roger Pinto député élu, n’ayant jamais participé à l’ancien gouvernement et le principal opposant a été obligé de quitter la Bolivie, et c’est réfugié au Brésil, sa famille et lui persécutés, son entourage proche exécuté un à un par le gang des étrangleurs, sa milice personnelle. (Passé par l’ambassade du Brésil)...

L’ancien président Gonzalo Sanchez est exilé.

9 Anciens ministres de l’ancien gouvernement sont en prison sous le prétexte d’avoir empêché une manifestation qui a engendré 33 morts. Un beau procès Stalinien d’une justice aux ordres et à la fabrication de preuves.

Les radio libres sont détruites et victimes d’attentats à l’explosif par les narco trafiquants, pour ne laisser place qu’aux radios d’état.

Le « gang des étrangleurs » est intouchable à La Paz, à la botte de Morales, se charge des assassinats de journalistes, des juges qui ne « jugent pas dans le bon sens » des personnes de d’opposition et leurs entourages.

Il a instauré une loi qui promet aux journaliste la prison pour la “diffamation”, la “calomnie” et la “propagation d’offenses”. Bien entendu critiquer Morales est de la diffamation. De nombreux journalistes sont actuellement en prison.

Attentats contre les radios :

Menaces officielles des journalistes

Pays aux mains des cartels narco trafiquants depuis l’arrivée de Morales :
« la production de cocaïne serait désormais de 265 tonnes en Bolivie en 2012, soit une augmentation de plus de 100% par rapport à 2010 »

Le gang des étrangleurs : traduction « la bande »cogoteros« a commis 69 meurtres entre 2011 et 2012. Dont le journaliste Eugenio Aduviri. La plupart des cogoteros et les assassins sont des criminels connus et travaillent sur ordre de la police, Ils entrent et sortent en prison comme dans un hotel »...


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