Vipère Vipère 7 août 2013 12:32

Cher internaute,

La croissante : vous pouvez mettre un trait dessus et pour longtemps !

Rien n’est comparable à la crise de 1929. Pourquoi ? A l’époque, ce sont les banquiers qui « sautaient par la fenêtre » en raison des pertes colossales de l’épargne de leurs clients, perdues, par la spéculation des banques.

Dans la crise des sub-primes, les Gouvernants Européens ont choisi de sauver les banques en croyant sauver du même coup, le système. Or, c’est l’effet inverse qui s’est produit.

 « La main visible étatique » en renflouant les banques a durablement grippé le système, basé sur la consommation, induisant des effets pervers eux aussi durables.

L’épargne d’un nombre de français a été sauvée, ainsi que les banques, mais à quel prix ?

- les épargnants disposant d’un bas de laine se montrent frileux, de sorte que leurs
 leurs économies n’alimentent pas l’économie et par là même la consommation des
 biens et des services
-un chômage de masse qui étrangle le pouvoir d’achat de quelques millions de français
- des retraités aux pensions rabougries qui eux aussi ne consomment que prudemment
- des salariés pauvres aux revenus stagnants qui eux aussi consomment peu, non par
 choix, mains en de la limitation de leur pouvoir d’achat

En définitive, des pans entiers de la population ne consomment plus ou trop peu, ce qui alimente durablement la crise, basée, sur la consommation des ménages, qui en définitive ne consomment plus suffisamment pour faire tourner les carnets de commandes des entreprises, ce qui génère toujours plus de chômeurs et la continuité infernale de la quadrature du cercle.

« Ce jeu » est appelé à continuer tant qu’ils y a des joueurs « qui consomment », comme au Casino  !


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