« laissons le choix libre à celui qui souffre. »
tout à fait d’accord Gabriel, la maladie est trop intime pour que le corps médical ou la justice s’oppose à une médication qui soulage du mal le principal intéressé.
A titre privé, une personne elle aussi atteinte d’un cancer avait le plus grand mal à s’alimenter pendant sa chimio. Les boissons protéinées ne passaient pas, elle perdait du poids d’une façon dramatique. Un inhalateur et une tête d’herbe lui a fait retrouver son appétit, de manger par envie, réduit le bouillonnement acide des médocs dans ses entrailles, que du bénéfice. Malheureusement ça soulage mais ne guérit pas.