Il se trouve toutefois que si je ne suis pas un ami de Redeker et de ses amis, j’ai beaucoup d’estime pour le courage de Robert Faurisson qui du reste est l’un de mes Amis. Et je n’ai pas à en en rougir, bien au contraire. Il fut aussi l’une des premières personnes à m’apporter son soutien, quand j’ai été torturé par des flics le 1er octobre 2001, à l’instigation d’une police de la pensée, pour avoir fait un commentaire anti-sioniste et anti-américain une semaine auparavant !