« notre saint homme en a vu d’autres et ne se démonte pas. Il pose la question qui tue : « Les gens vont-ils encore pouvoir se rencontrer ? » »
Je trouve que le débat est un combat d’arrière-garde.
Les gens où se rencontrent-ils aujourd’hui ? Dans la virtualité, sur Internet, sur Fakebook.
Lui, chrétien, il travaille le dimanche.
Pour l’islam, c’est le vendredi, le jour du seigneur.
Pour le judaïsme, c’est le samedi.
Le coiffeur travaille le samedi (et parfois le dimanche) et récupère le lundi, comme le font les musées.
Alors, quoi ? comme dit quelqu’un...