Henri Diacono alias Henri François 3 novembre 2013 11:13

A Motvandiou , Salut tout d’abord.
Ensuite vos craintes sont largement justifiées d’où mes « conditionnels ». Je sais toutes les manipulations que peuvent - ou que doivent - craindre tous les journaliste hommes « naïfs » par excellence.
Pour en revenir à la Tunisie, je commence moi aussi sur place à douter. Voilà le pays prisonnier de la politique politicienne. Ainsi dans le débat qui devait désigner pour samedi un premier ministre apolitique et provisoire chargé de conduire le pays jusqu’à des élections générales s’est embourbé sur « deux noms » . Ceux de vieux routiers de la politique qu’ils avaient quitté il y a quelques années, âgés, tenez vous bien, respectivement de 88 et 79 ans. Deux « jeunes » ayant moins ou un peu plus de soixante ans, hautement qualifiés en économie et finances et n’ayant JAMAIS adhéré à un quelconque parti, ont été écartés d’emblée.
En outre l’Assemblée Constituante qui a retrouvé ses dissidents qui la boudaient (ils étaient plus de soixante) et qui devait finaliser la Constitution se perd dans des palabres sans fin - une habitude du pays - sur des broutilles.
Je pense sincèrement qu’ici il faudra à nouveau un homme fort qui remette de l’ordre dans cette gabegie. D’ailleurs l’ami, je me demande si un peu partout, ailleurs, en France, en Europe, en Afrique, en Amérique et surtout au Moyen Orient le ras bol général ne commence pas à bouillir. Mauvais signe pour la planète. Et non pas pour la...Tunisie seulement. Pas avec l’OTAN seul...
Bon dimanche à vous. Le soleil, chez moi, brille et la mer est d’huile.


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