asterix asterix 12 décembre 2013 19:47

Fidel se préoccupe tellement de son peuple que, près de 56 ans après sa révolution qui allait bouleverser le destin de l’humanité, près de 60 % des habitants de La Havane sont encore aujourd’hui réduits à aller chercher leur eau à la citerne publique, car il n’y a toujours pas de réseau qui fonctionne.
En revanche, il dépense sans compter pour s’assurer des armes dernier cri, des missiles chinois, une force de dissuasion tant interne qu’externe. Un parapluie d’ondes empêche toute radio ou télé extérieure d’être reçue et Internet ne fonctionne que bridé, est réservé aux gusses du régime et à Yoanna Sanchez auquel il n’ose pas ôter sa liaison sattélitaire : voilà qui s’appelle songer au futur de son peuple, non ?


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