A qui profite la Crimée ?

Les américains parlent du mauvais coté de l’histoire, oubliant un peu vite que Billy the kid n’était qu’une petite pointure, à coté de Bush, père et fils, boucherie générale en gros, avec livraisons sur tout le moyen orient, et le reste du monde..

« L’Obama care » a pris le relais, plus malin, plus sophistiqué, gendre idéal, à cause de sa couleur de peau. Il enverra des drones en guise de faire part. Holland viendra le voir, en parlant franchouillard, en faisant le gros, façon de se faire bien voir, de jouer petit, de se démarquer surtout de De Villepin, ce mousquetaire du cardinal, si fourbe en ce pays étoilé, que certains n’en feront longtemps que des rêves de crochets de boucherie. 

« A qui le tour ? Qu’est ce que je vous sert ? »

A vrai dire, après avoir lu tant et tant Tchekov, la dame au petit chien par exemple, j’avais totalement oublié que la Crimée ne se trouvait pas en Russie. 

Tout cela nous fait réfléchir à deux fois, avant de récupérer Monaco, trop petit mouchoir de poche, pour y mettre une base navale. 

Un matelas pneumatique boucherait le port.

Il faut vraiment rouler à 300 kilomètres heures, dans un bolide de formule 1, pour oublier que c’est si petit, quoique grand au niveau de la poche portefeuille. 

Je vais finir par préférer la vodka au whisky !