Gazprom annonce (hièr, lundi) des « perturbations » dans les fournitures de pétrole et de gaz vers l’Europe occidentale. La majeure partie des gaz et de pétrole vers l’Europe traverse l’Ukraine. 

Un moyen formidable dans les mains du « gouvernement » ukrainien pour entrainer a chaque moment la dynamique d’escalade et de provoquer une intervention de l’OTAN. 

Le capitalisme est au bord du gouffre avec la crise structurelle (ultime ?). Sans vouloir entrer dans les détails, la crise est une crise de surproduction, ou autrement dit, la productivité est devenue tel que la structure capitaliste de la production et consommation est devenu incompatible avec lui-même. Dans cette situation se développe une dynamique destructrice ou la destruction des valeurs virtuelles ne suffisent plus, il faut une destruction massive des valeurs matérielles. Je sais, ce ne pas simple de comprendre la complexité de cette situation, mais il faut le dire quand-même. « La guerre est la continuation de la politique avec des autres moyens » (Clausewitz). 

Je le déjà dis dans une autre poste, mais ça devient plus en plus clair :

« Tout n’est pas sous contrôle et toutes les situations ne sont pas prévisibles. C’est trop simpliste de voir partout des complots sionistes ou une question caractérielle de certains politiciens. Ce n’est pas nécessaire, la dynamique de l’histoire (encore avec H) trouve toujours au bon moment et au bon endroit ses protagonistes. Et la dynamique actuel comme celui il y 100 ans est propulsé par une organisation du monde qui s’appelle capitalisme. »