bakerstreet bakerstreet 24 juin 2014 15:52

Oivier Cabanel


Votre article est intéressant, et plonge au cœur de bien des questions. 

Ceci dit, il n’aurait pas fallu attendre l’invasion de la Pologne pour intervenir, car il était déjà trop tard. C"’est en s’opposant aux allemands quand ils ont envahi la rhénanie, en 36, zone démilitarisée depuis le traité de Versailles, que les français auraient véritablement mis en échec la politique du reich.

C’est un coup de bluff calculé, et la grande peur de Goering, en faisant ce blitz, est une réponse sur le terrain, car l’armée allemande est loin d’être prête. 
Il sait qu’une intervention étrangère serait catastrophique pour le grand dessein qui se dessine, et dont chaque avancée est calculée, soupesée, et finalement risquée.

Toute la politique allemande est calculée ainsi : Guerre éclair, manipulation, outrance. 
 Un politique de petits pas chaussés de bottes ferrées, et marchant au pas, avec un message induit parfaitement pervers : Nous sommes les forces de progrès qui materont ces communistes dont vous avez tant peur, le fer d’une nouvelle europe.

Ne pas oublier que même des intellectuels comme Stephan Zweig fera l’éloge au début des années trente de ces forces neuves, qui incarnent une nouvelle jeunesse de l’europe. 
Une déclaration qu’il tentera par la suite de faire oublier.

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