Loatse Loatse 9 juillet 2014 12:19

C’est un sentiment d’appartenance qui repose sur un socle culturel commun (malgré quelques légères disparités), des valeurs commune et que l’on s’acharne à vouloir faire disparaître...

Hier soir au JT un élu (me rappele plus qui ) vantait les mérites du découpage des régions..j’écoutais vaguement jusqu’à ce qu’une phrase retienne mon attention :Celui ci parlaient de capitaleS et la félicité qu’épouvrerait le bourguignon en se rendant à la capitale des régions pays de loire-bretagne ou quelque chose d’approchant...

Bin derme ! me suis-je exclamée tout haut ; voilà la finalité de tout ce changement présenté sous couvert d’économies on ne peut mieux exprimée : celle d’en finir avec le Pays France, d’éviter la tentation improprement nommée nationaliste (mais qui s’apparente plus à un anti mondialisme) en fragmentant le territoire en petites entités destinées à devenir des provinces de l’Europe.. D’ou la promotion de l’apprentissage des langues régionales... dont on majorité de futur ex français se contrefiche..

Donc kooka, la question demain ne se posera plus... Puisque de France il n’y aura plus.

Nous restera que Lisieux pour pleurer...

Evidemment puisqu’il y aura multiculturalisme (c’est prôné).. valorisation des cultures et langues régionales, il va de soi que certaines régions qui se diversifient de moins en moins ethniquement, culturellement/ religieusement parlant, finiront un jour ou l’autre par demander la reconnaissance de leur identité culturelle propre fondé sur un socle commun, des valeurs communes autres que celles de la france.

Le général De Gaulle parlait d’incorporer... A une époque bientôt révolue ou la France n’avait pas vocation à être morcellée, c’était non seulement faire preuve de bon sens : les nouveaux arrivants appelés à faire corps avec le noyau central (le socle commun)... à s’y greffer..

Cette vision des choses est maintenant non seulement considérée comme obsolète mais xénophobe ! c’est le noyau qui doit changer et s’adapter.

D’ou le chaos ambiant dû à la confusion qui découle de l’inversion du processus.

L’embêtant, ce qui coincait c’est que les droits de l’homme reconnaissent non seulement la notion de peuple autochtone, mais entérine leur droit à préserver leur culture.

Il suffusait donc pour contourner ceci, de faire disparaîte la notion de peuple français...

C’est en cours.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe