N’essayez pas de convaincre Spartacus. Tout bien réfléchi, le noeud gordien c’est toujours en définitive l’héritage (que ce soit celui matériel ou d’autres comme les réseaux de relation), et là-dessus Spartacus voudrait nous faire croire que dans sa société libertarienne idéale on peut sans incohérence faire cohabiter les inégalités à la naissance avec l’égalité des chances.
Donnez-lui sa carte verte et qu’on n’en parle plus.