Piere CHALORY Piere Chalory 12 septembre 2014 01:05

à titre personnel, je ne crois pas qu’un homme, ou une femme politique pourra ’faire bouger’ quoique que ce soit dans un sens réellement positif, pour le peuple et aujourd’hui pour la classe moyenne s’entend. Mais, au vu des co—eries accumulées depuis une quarantaine d’année par tous les gouvernements successifs, (avant j’étais trop jeune pour me rendre compte), il est normal que les jeunes, et m^me les vieux aient envie de tenter une nouvelle ’aventure, puisque les deux facettes du pouvoir en pouvoir en place appliquent finalement la m^me politique, seuls les individus changent.


Le problème en France vient surtout du fait qu’une fois élu, ces gens font l’inverse de ce qu’ils promettent, et qu’ils soient ’in-touchables’, in-démissionnables, in-condamnables. Ce système semble unique dans les démocraties occidentales. 

Quand on voit que les alternatives proposées sont le ’retour hypothétique du calamiteux prédécesseur, ou de personnes ayant fui à l’étranger pour éviter la prison, qu’aujourd’hui, le pouvoir rencontre une opposition au sein de son propre camp, et qu’un premier ministre dit sérieusement qu’il compte gouverner par ordonnances, comme en temps de guerre, sans consulter les élus, ne parlons pas du peuple, pour faire passer l’austérité de force, on peut affirmer que ce système est en bout de course. La parole est au peuple maintenant.

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