San-antonio San-antonio 16 septembre 2014 12:42

Article intéressant. A l’auteur, que la voiture électrique ne réduise pas les rejets de CO2. A terme, on s’en fout un peu :
- Le CO2 n’a jamais été un polluant, la preuve, n’importe quelle bouteille de soda en est chargée, ainsi que sa majesté Champagne...
- Le role du CO2 dans le pretendu effet de serre est contesté partout, du moins négligeable par rapport a la simple vapeur d’eau
- Le réchauffement climatique est loin d ;etre acté.
- La responsabilité du CO2 dasn un réchauffement climatique hypothétique ne soutient pas le moindre raisonnement.

En revanche, vous avez raison de préciser que si la pollution est réduite (pas annihilée) au niveau de la voiture elle-même, celle-ci en crée en amont de nouvelles souvent bien peu prises en compte dans les merveilleuses présentations des constructeurs. Cela rappelle un peu les âneries Calvetistes dans les 90’s sur le mazout appliqué a la voiture particulière...

A ce sujet, vous oubliez plusieurs formes de pollution :

1 - Celle non resolues par la voiture électrique : le rejet de sous produits pétroliers dans la nature, liquides lave-vitres, usure des pneus sur le bitume.
2 - Celle induite par la voiture électrique inconnues sur les véhicules a pétrole : pollution électromagnetique dont on ne sait absolument rien des effets sur le corps humain a moyen et long terme.

Cela étant, plusieurs données permettent toutefois de comprendre l’interet de l’électrification des automobiles :
- Le rendement d’un moteur a combustion interne ne peut dépasser 40% lorsque les meilleurs moteurs electriques atteignent 97%.
- Le rejet de fluides en tous genres et dégradés du pétrole est a l’evidence fortement réduit : pas de vidanges, pas de pertes lors des operations de remplissage de reservoirs, fuites de reservoirs...
- Les phases de freinage sont utilisées comme génératrices : l’énergie autrefois perdue est regénérée en électricité.
- L’entretien du « powertrain » est réduit a rien, ce qui implique une disparition de la fabrication de toutes les pieces de rechange et de reparation et la diminution de la pollution associée.
- La simplification du véhicule est une aubaine pour les constructeurs en terme de rentabilité.
- La possibilité d’utiliser des moteurs bien plus petits que le sacro-saint « bourrin sous capot », donc logeables un peu partout (meme dans les roues), impliquant réduction de poids, ouvrant une voie a des designs inconnus jusqu’ici et permettant des politiques de plate forme super optimisées.
- Le silence absolu de la motorisation : réduction de la pollution sonore, surtout en ville (sur route ce sont les pneus qui font le plus de bruit)
- Les performances de la motorisation sont infiniment supérieures a tout moteur a combustion interne de par la disponibilité maxi de couple a tous régime.
- Ce couple maxi a tous régimes impliquant la disparition de la transmission (boite a vitesse), mais aussi (dans le cas de moteurs logé a proximité ou meme dans les roues) d’arbres de transmission, differentiels, cardans...
- On peut imaginer que les trajets « specifiques » liés a la distribution de l’essence ou du gazout n’existeront plus (livraison par les camions citernes aux stations services, trajets specifique du quidam « pour faire son plein »), autant d’énergie et de pollution économisée.
- L’absence de vibration permettant la disparition de jouets tels que volants bi-masse, supports moteurs a technolgie spatiale et autres sieges sur suspension.

A la liste de des avantages,on ne peut imaginer que le moteur électrique ne s’impose pas dans l’automobile dans les années a venir...

 


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