Le maïs est effectivement une culture importée d’Amérique du sud. 

Il a besoin de soleil, et surtout de beaucoup d’eau, d’énormément d’eau. 

UN truc qui vous pompe les nappes phréatiques, avec la nécessite de creuser de plus en plus profond, et qui devient démentiel quand des perspectives de sécheresse se profilent à l’horizon. 

Cette eau récupérée, n’ira pas ailleurs, en aval. 

Voilà la raison de cette retenue d’eau : Une possibilité de continuer la marche en avant.

L’eau est un capital commun, elle ne doit pas être sacrifiée pour l’intérêt de quelques uns.

Le maïs à gros rendement qu’on trouve en France, est destiné exclusivement à engraisser les bovins, à faire de la bidoche, en d’autres termes. 

Mangez le, il est bourré de pesticides, je ne répond pas du résultat.

Assez bon pour les vaches cependant ;

Plus question de les nourrir en pâturages et au foin comme avant, vu les troupeaux.

Problème, on a besoin ainsi de trois fois plus de terrain agricole, pour produire cette alimentation carnée qu’une autre, à base de céréales, ou de légumes.

C’est ce que parait-il, le consommateur revendique, pour se ruiner la santé, et faire marcher Mac donald, et les trusts médicamenteux.

On le sait, on creuse sa tombe avec les dents, mais surtout avec l’aide d’un couteau, pour bouffer cette bidoche infâme qu’on vous sert et qu’on vous ressert. . 

J’allais oublier tous les engrais, les pesticides qui seront nécessaires à la pousse harmonieuse de cette belle plante, et dont les excès ruisselleront sur les bassins versants 

C’est toute un agriculture qui avance ainsi au bulldozer, cent ans après 14. 

Les chenilles des tracteurs et des tanks sont parfois identiques. 

Derrière ce projet foireux, construit en dépit du bon sens ( mais qui a pourtant bien une orientation) c’est toute une politique de lobbys, d’intérêts à courte vue qui s’entrecroisent.