soi même 13 novembre 2014 12:39

@ l’auteur, à travers votre article,vous poses la question de la Liberté.
Et votre attitude au près de votre petit fils et emprunt de délicatesse et d’un profond respect vis à vis de lui .
Que craignes vous en réalité, que l’on se trompe, nous trompons constamment, de perdre vos liens avec votre fils et sa famille, où bien le choc de conscience d’avoir négliger de vous posez la question ce que signifie cette recherche de trouver sa famille spirituel !
Visiblement votre famille spirituel est l’athéisme, sur le fond il y a t’ il une grande différence avec ces différences confessions religieuses qui prêchent pour leurs chapelles ?

Je perçois un déchirement et une souffrance pudique dans vos propos, car vous interrogez pourquoi votre fils a éprouvé ce besoin de chercher un cadre autre ce que le savoir laïc apporte ?
Cela peut être compris, si l’on voie que ce savoir académique, celui qui en vigueur aujourd’hui pour une âme qui cherche à éprouvé le monde et un vide, et un désert et ne nourrie pas l’âme.

Car aussi paradoxalement que cela peut paraître, plus que l’on a une connaissance scientifique, matérialiste de la vie, plus on a se retour de balancier de compensé cette sécheresse de l’âme apporte cette connaissance !

Ce qui est important, même si vous considérez que votre fils ce trompe, c’est qu’il se pose des question existentiel, et c’est cela qui a de l’importance, même si ces réponses à votre avis sont fausses, l’important c’est qu’il ce les poses, c’est un ferment autant pour lui que pour vous !

“Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit,
Parlez-nous des Enfants.
Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même,
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.

Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées,
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes,
Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter,
pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux,
mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.

Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.
L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance
pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie ;
Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable. “

Khalil Gibran


 
 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe