Hervé Hum Hervé Hum 15 janvier 2015 21:30

J’attendrai alors la seconde partie.

Juste deux choses, la première quand vous écrivez « Le distinguo soi/autre est tout relatif ». Pour ma part, je partage l’idée que le relatif est la forme de ce distinguo, le fond étant relationnelle !

Le relatif distingue les choses entres elles, le relationnel, les êtres.

Le relatif, c’est de dire « mon pays » en tant qu’entité matérielle, physique qu’est la terre. Le relationnel étant la culture. Or, vous pouvez constater que les frontières ne peuvent pas beaucoup bouger, contrairement à la culture. C’est la même chose que de parler de « soi physique » et de « soi social », mais vous faites ici l’impasse sur un détail essentiel, c’est que le soi social est partagé entre tous, tandis que le soi physique est unique à chacun. 

La deuxième chose est que le cas présenté par vous ici, ne relève pas du sacrifice pour le « bien de l’humanité », mais du bien, mal acquis. D’ailleurs vous noterez que ceux qui se sacrifient pour le bien de l’humanité, risquent très rarement la vie d’autrui, les autres toujours !


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