Ce qu’il faut changer : Le système politique et organisationnel de la prise de décision.
Cela revient à changer d’UE (nain politique), de réformer les institutions vers moins de complexité et plus de démocratie réelle, de réformer l’éducation pour plus de diversité de profils, de changer d’échelle de temps pour les actions en particulier pour l’environnement (moyen et long terme).
En changeant le système de l’intérieur, par la force des convictions et la confrontation aux réalités de terrain, on peut changer les choses.
Mais pour cela il faut avoir le courage de dire des vérités et de remettre en cause les féodalités rampantes qui se sont installés à tous les étages.
Aurons-nous le courage de changer pour du choix réaliste ?
Voilà la vraie question.