Et vous voulez qu’on ne pleure pas ?
Qui a encore la force de lutter contre les moulins à vent ?
Voilà cinquante ans qu’on dénigre le métier de paysan et, plutôt que l’adoucir en le respectant, on l’a détruit et remplacé par des activités encore plus nocives.
Se fatiguer est sain, la preuve, les gens courent le dimanche ! Aujourd’hui les exploitants sont gras de ce mauvais gras donné par la bouf industrielle !
Bof, j’ai déjà dit et écrit ce que j’avais à dire là dessus ; c’est un chagrin, un vrai...