La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.
De fait,
les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes
d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du
sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de
plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes
en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus
explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement
aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité...
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voir : L’INEVITABLE RETOUR DU FASCISME