Croa Croa 13 juin 2015 00:05

À Jean Keim «  la répartition se fait sur les miettes de la richesse produites par le travail  »

Effectivement seul le travail vivant cotise alors que sa part de richesses produites a diminué fortement, années après années. Le défaut vient à mon avis des entreprises qui ne cotisent pas vraiment, leur part étant prélevé sur la masse salariale (c’est à dire sur le travail des salariés) au lieu de l’être sur les bénéfices.


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