« Je dis que les évidences ont besoin d’être démontrées (...) », en l’occurence, c’est exactement ce qu’a dit la Cour de Cassation dans son arrêt de rejet ! Les thèses de la défense en faveur d’une révision du procés sur la base d’éléments nouveaux remettant en cause la culpabilité de Seznec ne dépassent pas le stade de suppositions notamment concernant la thèse de la machination policière (C. l’inspecteur Bonny)
Avec cette véhémence, ne faudrait-il pas plutôt accuser les avocats de Denis Seznec de n’avoir pas réussi à réunir des preuves pour étayer leur argumentation ?