bakerstreet bakerstreet 29 juin 2015 12:16

La thèse de Todt part déjà de vues partisanes fausses, basées sur ses propres convictions d’inquisiteur faisant entrer la réalité qu’ils souhaite aux forceps...Une technique de paranoïaque : Des raisonnements apparemment justes, sauf que la base de données initiales est délirante et orientée

S’il y avait tant de bobos que ceux qui ont défilé, la France serait vraiment un pays riche ! .Tant de privilégiés partout jusqu’au moindre trou de province....Ah ! Quel est ce pays béni par les dieux, ou coule le nectar et la myrrhe ?
La France, me dites vous ! Pas possible..Le réel est la meilleure preuve à opposer, et l’ironie semble la meilleure défense. 
Les paranos se supposent pas d’ailleurs l’humour, cela casse leurs effets. Voilà pourquoi ils s’en sont pris à charlie, et que Todt, n’est pas si éloigné que ça, dans son concept, que ces fameux radicaux.
La question qu’on peut se poser est celle ci ? Comment se personnage déplaisant, arrogant, parvient il à imposer ses thèses gratuites aux médias, faisant le tour des chaines d’information ? 
Je ne commenterais pas plus sa sociologie à la petite semaine, sinon qu’elle est ridiculisée par les événements récents. 
Car voilà que nos éditorialistes s’émeuvent, après ce crime barbare, s’inquiètent de la disparition de « l’esprit charlie ». Où sont les manifestations spontanées géantes ? Une chose que j’ai entendu, et qui doit faire sens...
Calmos, tout de même. Il est évident que la foule a plus d’intelligence parfois que certains, et qu’elle a très bien compris qu’en janvier on s’attaquait à un symbole fort, la liberté d’expression, et bien plus, que c’était un ballon d’essai afin de tester la réaction. Que tout cela préfigurait du pire, que certains tentaient de faire une sorte de coup d’état moral.

Après avoir tiré dessus à boulets rouges, sur ces gens dociles et manipulés, se comportant soi disant comme des moutons de panurge, comme dans l’histoire du boulanger, de Fernand Reynaud, voilà que certains journaleux s’émeuvent.
 Ils ont compris semble t’il, ce que tout les autres avaient pigé ; que ces crimes ont pour but de cliver la populace, et que la meilleure chose était de montrer son unité, son calme, et sa détermination, face à la barbarie, à l’obscénité des têtes coupés, des innocents massacrés.

Une chose que les tunisiens ont pigé. La france de janvier en a étonné plus d’un, même si évidemment des politiques ont tenté de récupérer l’événement. Mais ne nous trompons, ils n’étaient pas devant, ils étaient bien derrière. Les photos ont leur limite dans l’interprétation des choses et des événements
 Un rassemblement qui s’imposait face à l’esprit de sidération voulu, et aux professeurs Ribouldingue,qui profitent des coups, à leur propre usage .

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