@Owen
Excellente suggestion, Owen, le livre de Merle est fascinant, comme l’horreur banale fascine. Au fait, tous les livres de Merle sont des bijoux.
La Mort est mon métier est un livre qui ne laisse pas indemne. Comme le fameux concept de Hannah Arendt sur la banalité du mal. Il fait froid dans le dos, cette idée que le « monstre » n’existe pas, c’est vous, c’est votre voisin, c’est n’importe qui.....