Je ne suis pas convaincu qu’on en arriverait facilement a une définition du fascisme qui ferait consensus. Pour moi, le fascisme, c’est le principe de gouvernance qui accepte que la force prime sur le droit. Le mot clef ici est.« ACCEPTE » , car il il est clair que, dans la réalité, la force prime toujours, qu’on le veuille ou non. La force des fusils, la force du nombre, la force hypnotique des conditionnements divers, dont le consumérisme est aujourd’hui le plus ridicule.

Dans un état complexe, le fascisme ne recule donc que quand l’indispensabilité de chacun augmente : le reste est mensonges et subterfuges. Avant que nous n’ayons tous vraiment besoin les uns des autre et en soyons conscients, le vrai choix ne sera que celui du dosage le plus populaire entre fascisme et anarchie. Anarques du monde, unissons nous ! 

PJCA