@ddacoudre
« lit cet ouvrage , tu y liras qu’à l’époque les français parlaient des italiens comme aujourd’hui certains parlent des arabes, et tu y liras qu’il les différencier aussi au faciès. »
Peut-être, mais aujourd’hui les Français ne voient pas l’Italien en Platini ou Belmondo, pas plus que le Hongrois en Sarközy, tandis qu’ils verront toujours l’Arabe chez Debbouze et l’Africain chez Thuram, que ses origines guadeloupéennes ne « protègent » pas.