@sampiero

« voila qui est en totale contradiction avec ce que tu a dit !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! » 

Comme tu as pris ton petit plaisir et que tu en as joui pendant sept heures et demie, je n’ai plus aucun scrupule à te casser ton coup.

« Droit du sang » est une métaphore à caractère administratif, indiquant que la nationalité est accordée automatiquement à qui est né(e) d’au moins un parent originaire du pays.

Et le bénéfice du « droit du sang » ne repose pas sur une analyse du sang, ou de l’ADN, de la personne concernée, ce qui fait que la mère peut-être Norvégienne, mariée à un Français, et le père biologique un violeur afghan en transit vers Calais, sans que le « droit du sang » du nouveau-né ne puisse être remis en cause par l’administration.

« ce n’est donc plus une question de sang mais de comportement ? »

Ce n’est donc pas une question de sang, stricto sensu, pour la raison exposée ci-dessus, et pas davantage de comportement, mais de sentiment d’appartenance. Et, de ce point de vue, c’est au sujet lui-même de se situer dans la société d’accueil

«  Donc un Malien qui manifeste un  sentiment d’appartenance, et un comportement synchrone a tes faveurs ? »

Je ne suis mandaté par personne pour distribuer, ou refuser, des faveurs à qui que ce soit.

Ton Malien, il est ce qu’il veut et, le cas échéant, à en juger par les réalités de l’immigration, plutôt Malien en France de nationalité francaise, que Français tout court, mais c’est son affaire, s’il s’en va se proclamer urbi et orbi, parmi les sourires entendus, de la race d’Alain de Lille, de Blasset, de Racine, de Chassériau, de Boulle et de Vatel.

Comme c’est celui de Gaston Kelman de se dire non seulement Français, mais encore Bourguignon comme le Pape des escargots, et qui, à ce titre, ne mérite pas plus mes faveurs, qu’il ne serait passible de ma défaveur : ce qui se passe à l’intérieur des gens n’est pas de mon ressort.